Le « Changement Cliquematique » propice au développement du rat bleu.

Le rat bleu est un animal affamé, prolifique et nocturne associé au serpent et à la taupe. Au serpent car il s’infiltre partout, instinctif ; à la taupe car il agit en souterrain. Le rat bleu propage la peste (le changement climatique).

L’aspect destructeur du rat bleu est bien connu, anéantissant les moissons préparées par d’autres espèces.

Il guérirait de certaines maladies (la crise économique), en détournant l’attention sur de faux problèmes pour éviter de réformer.

Le rat bleu s’adapte rapidement en fonction de son environnement.

Le clan des rats bleus n’hésite pas à sacrifier un de ses membres pour tester une piste et prospérer.

De part son furetage, le rat bleu connote psychanalytiquement à un symbole phallique et anal qui le relie à la richesse et à l’argent.

Le rat bleu est l’image même de l’avarice, de la cupidité, de l’activité nocturne et clandestine. On peut parler de crypto-socialisme à la manière des pratiques sectaires. Il n’hésite pas à exclure in vitam aeternam un membre renégat qui trahirait sa cause néfaste.

Le rat bleu est très fécond, signe d’abondance et de prospérité, mais voleur et fureteur, il s’approprie frauduleusement les richesses. Tire seul les bénéfices des jouissances apparentes de l’être.

Sa femelle, la rate bleu est en rapport à l’humeur, loin du rationalisme, mais proche du rire sournois supposé jadis provoquer par la dilatation de la rate quand elle s’est bien rassasiée.

Quelques exemples de rats bleus :

JMJ : membre ayant beaucoup prospéré, archétype du développement du rat bleu, tantôt expert en climatologie pour les journalistes, tantôt consultant en énergie, habitué des plateaux télé, membre de divers organisations institutionnelles influentes, il agit omniprésent dans les débats rappelant sans cesse qu’il faut se soucier du financement des activités propices au rat bleu.

AG : vice-président d’un président proche des milieux sectaires scientologues, ce n’est pas étonnant qu’il prospère en développant la thèse du réchauffement climatique en diffusant par tous les moyens (conférences, programmes « éducatifs », cd-rom, « cinéma ») un film sur le « Global Warming » qui utilise des arguments aussi fallacieux qu’inexacts, avec tous les artifices de la rhétorique nouvelle où la tromperie par l’image est reine.

JC : président d’une université, spécialiste du financement et de la précipitation vers les appels d’offre des collectivités territoriales et des agences gouvernementales pour les laboratoires. Il a été formé à la recherche par un climato-sceptique hors pair, mais qu’il a renié pour satisfaire ses détracteurs "chauffagistes" et pour satisfaire ses propres ambitions. Habile à profiter des congrès préparés par ses étudiants pour voyager au frais de l’université. Un modèle de rat bleu qui prospère dans les flux de la marmite du « Réchauffement Climatique ».

YAB : dont les hélicoptères agissent comme un nouvel « Apocalypse now », interprétant hâtivement les faits observables et extorquant des populations et victimes locales, des interprétations capilotractées. Tels la puissance de la houle comme montée du niveau marin; de la baisse de pluviométrie comme accroissement de température ; le recul des glaciers sans tenir compte des précipitations ; la disparition d’espèces animales comme incapacité à réaction génétique devant la soudaineté du réchauffement alors que la prédation anthropique est première ; ou de la disparition des îles comme d’origine climatique alors que l’évidence est la soudaine densité d’habitation et la surexploitation humaine.

DCB : insurgé invétéré, toujours actif quand il s’agit d’activisme de parole dans les assemblées ou dans les media, capable d’allier le stalinisme avec l’écologie pour une finalité politique décalée des enjeux mais se dégageant de toute responsabilité quand l’écologisme a besoin d’un leader pour fédérer les énergies et les voies.

Mais sans doute connaissez-vous d’autres rats bleus…

Il existe aussi beaucoup d’organisations :

La pisse verte, qui voit la baleine dans les mers du sud, mais pas la pollution médiatique devant ses yeux ; qui voit la radiation nucléaire aux antipodes dans l'immensité du Pacifique, mais pas où les essais nucléaires ont tué des cobayes humains;

les amis déblatèrent qui se cachent derrière un arbre qui cache derrière lui la forêt ;

le fond mondial pour l’aphone sauvage, qui se soucie du bois précieux plus que des populations autochtones des forêts tropicales et des mages, ou qui se soucie plus de la disparitions des marsupiaux que des langues malgaches pour s’en mettre plein dans la poche dans des "réserves" protégées contre la vie locale mais pas le braconnage touristique;

… sans doute connaissez-vous d’autres ONG pareilles (Non Gouvernables Organisations) aux bénévoles naïfs et illuminés, aux financements lobbyistes peu transparents, et à la démocratie ploutocratique.

Prospère, le rat bleu, surtout dans un pays qui compte plus de 350 fromages... "ingouvernable".

Pour mieux comprendre cette fable véridique, se référer à l'histoire du joueur de flûte de Hamelin: http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Joueur_de_flûte_de_Hamelinlink

Y aura-t-il un tel joueur de flûteau pour dépasser le cadre pécunier de cette fable bien réelle du "réchauffement climatique" puisque la magie seule pourrait maintenant circonscrire les dérives de la pseudoscience et de la gouvernance pseudo-écologiste ?