Un laboratoire scientifique indépendant dont les axes de recherches concernent:les polémiques du "réchauffement climatique";Les climatosceptiques;la théorie des Anticyclones Mobiles Polaires;les risques liés à la pollution atmosphériques; d'autres risques géophysiques et anthropiques...
Pour que l'on se rende bien compte de ce qui se passe quand certains scientifiques essayent de faire connaître des arguments objectifs sur une théorie de science expérimentale et qu'elle n'est pas dans le sens des intérêts du moment: ici un exemple qui s'est prooduit fin 2009 sur l'encyclopédie en ligne wikipédia, dont le sujet était la suppression pure et simple de l'article qui est resté un certain temps sur "Marcel Leroux".
ici repris (date 5 mars 2011)
http://fr.wikipedia.7val.com/wiki/Discussion:Marcel_Leroux/Suppression
Heureusement les contributeurs "pour" ont pu empêcher le flot des "contre" et on peut encore lire sur la page actuelle (http://fr.wikipedia.org/wiki/Marcel_Leroux) des éléments de référence fondamentaux, mais les explications détaillées ont en grande partie disparues. C'est pourquoi il me parrait important de retranscrire cette épopée dans cette page.
"" copie écourtée"
) 28 décembre 2009 à 10:52 (CET)
Raison : pas de consensus
Proposé par :
Scientifique sceptique à la notoriété qui me semble très largement poussée articificiellement par les sceptiques de l'origine humaine du réchauffement climatique. La réalité de sa notoriété en tant que chercheur me semble hautement douteuse. Je ne vois ni publications de référence ni de débat scientifique sur les points, probablement exagérés mais pas totalement, qu'une IP introduit avec un
WP:TI. Qui peut calculer son h index?--Bombastus [Discuter] 8 décembre 2009 à 18:47 (CET)Avertissement
: je n’ai pas compris ce qui s’est passé dans cetedit, mais je l’ai réverté : il faisait sauter deux avis (dont le mien) plus de la mise en page et autres…
Nemoi, qui s’est expriméici le 17 décembre 2009 à 00:32 (CET)
Ceci n'est pas une "Discussions", mais un avis "POUR GARDER" frauduleusement transformé en "discussion" et il est signé --
Nicolas Sègerie (d) 13 décembre 2009 à 01:34 (CET)
Qui aime la science ne peut que voter POUR la présence d'une page "Marcel Leroux" dans une encyclopédie, fusse-t-elle d'après ce que dis un des tenants du CONTRE: en perte de vitesse.
En effet, si à chaque fois qu'un scientifique dont les thèses ne plaisent pas (sur le plan ou non d'autres aspects que ses vérifications scientifiques), est purement et simplement supprimé, il ne risque pas d'avoir "la cote". Or c'est son cas, tous les articles qui parlent de lui ou de sa théorie que je vais tenter de rapidement présenter à grand traits par un paragraphe ci-après (qui lui-même a été supprimé plusieurs fois !!!) ont été petit à petit éradiqués comme la peste.
Le fait pour Marcel Leroux d'avoir " atterri " dans la " fosse " des "sceptiques du réchauffement climatique", c'est un constat par rapport à une thèse dominante, pas une fin en soi, il s'en serait passé. Il est fondé qu'un scientifique plaide contre une mode politico-économique ("le réchauffement climatique") sur des arguments scientifiques, réellement observés, s'ils sont effectivement contradictoires avec cette pensée (un temps) dominante (à la manière d'un dogme, qui cristalliserait la situation que nous vivons à la manière d'un néototalitarisme "écologique").
Mais les choses changent, comme le disait pas plus tard que tout à l'heure Vincent Courtillot du Laboratoire de Physique du Globe de Paris sur "C dans l'Air" (accessible en ligne quelques temps), le scepticisme est partagés par beaucoup d'autres scientifiques à travers le monde. J'ai moi-même recherché des sources qui partageaient ce doute...comme certains autres "sceptiques" au sens le plus strictement scientifique. Tous enrichissent la liste incroyable de ces chercheurs dont personne ne parle, mais qui existe (je vous en donnerai une plus tard)et qui doutent du "réchauffement climatique" tel qu'on nous le présente.
Par ailleurs, dire qu'il n'y a pas de publications dignes de ce nom est honteux, mais vous êtes pardonnables, car mal renseignés: Marcel Leroux a publié de très nombreux articles et ouvrages depuis sa thèse de doctorat (vous aurez un échantillon plus loin ou annexée un peu plus tard - promis – il est même difficile de préciser combien d'articles il aurait signé : voire déjà:
http://lcre.univ-lyon3.fr/climato/Marcel_Leroux_biblio.pdf). Ses livres sont connus autant aux USA qu'en Afrique où il est reconnu comme un des meilleurs climatologues de la zone tropicale. Mais ces livres apparaissent comme "épuisés" en librairie...curieux. On n'arrive plus qu'à trouver de vieilles éditions sur-colorées par les étudiants qui les ont bues à chaque ligne.
Evidemment, si tous les anti-sceptiques s'efforcent de faire disparaître les références en ligne et même matériellement les publications de Marcel Leroux, alors on ne risque pas de trouver sa trace ni sa popularité (c'est vous qui parlez de Star'Ac). Les quelques images auxquelles vous faites allusion qu'un heureux étudiant à filmé un jour sont les seules qui restent de ce personnage dont la rigueur transparait dans ce document maintenant historique.
En plus, associé cela à sa disparition physique est proprement scandaleux...je vous crois inconscient de votre erreur, ou alors vous seriez totalement malhonnête comme certains de ses détracteurs à court d'arguments scientifiques.
Déjà, avec ces éléments, cela justifie largement de conserver l'article "Marcel Leroux" dans wikipedia. Je me suis rendu compte que c'est systématiquement que les articles qui parlaient de son travail et de ceux qui l'on entouré étaient visés...impossible de réagir dans un tel concert de cacophonie ne laissant jamais la place belle à l'explication pédagogique.
Laissez-moi-vous expliquer pourquoi Marcel Leroux, professeur d'université, mérite d'être dans les pages de cette encyclopédie et sera dans celles qui suivront.
Le scepticisme scientifique est une posture qui montre combien il est difficile en tant que membre de la communauté scientifique d’exister quand les résultats du travail de recherche vont à l’encontre des groupes de pression et donc de l’opinion publique. C’est le cas de la théorie des Anticyclones Mobiles Polaires développée par ce professeur Marcel Leroux à l’université de Lyon Jean-Moulin.
La théorie des Anticyclone mobile polaire (AMP). L'anticyclone mobile polaire (AMP) est un concept explicatif (et non seulement théorique comme certains fondements de la météorologie "moderne"), inventé et défendu par le géographe et climatologue, Marcel Leroux, aujourd'hui en voie de disparition. Ce chercheur a constaté une distorsion entre les hypothèses et modèles descriptifs de l'atmosphère développés avant l'arrivée des satellites d'observation météorologique et les images (et leur réalité) des nuages d'aujourd'hui. Les nuages sur ces images satellitales s'éloignent de la position des fronts classiques. Ce chercheur pose alors comme hypothèse que le facteur premier du temps qu'il fait sous les latitudes tempérées dépend essentiellement des descentes d'air froid et sec polaire, et que c'est le mouvement de ces masses d'air, appelées de l'acronyme AMP, qui induit ensuite les mouvements aérologiques des dépressions.
Puisque on nous rappelle sans cesse que cette théorie n'a pas reçu l'adhésion de toute la communauté scientifique, elle a suscité en effet trop de nombreuses controverses, dont certaines sont totalement indignes de certains membres qui se disent de cette communauté comme celle de traiter de "négationniste" tout scientifique qui n'est pas d'accord avec l'ensemble des thèmes et constatations de la mode du "réchauffement climatique" ou "global warming". Rapprocher une thèse scientifique de la sorte nous rappelle les heures sombres des dictatures stalinienne ou hitlérienne...et ne sont pas de bon augure.
Comme toute progression scientifique, c'est par l'erreur que l'on progresse ; et les vérifications s'effectuent à partir des observations réelles faites sur le terrain de l'objet d'étude, en l'occurrence ici l'atmosphère. Il est clair que de nombreuses constatations observables sont en contradiction avec l'idée répandue que " le réchauffement est complètement vérifié " avec son catastrophisme ambiant. Associé à la responsabilité exclusive du facteur anthropique (humain contrairement aux facteurs naturels alors que nous ne savons pas encore tout des volcans, de la biomasse, de la "constante" solaire, des rayons cosmiques, de la végétation, des océans, du phytoplancton...) avec une relation de causalité directe [concentration de CO2]==> température moyenne globale. Comme si le "système climatique" était linéaire et pouvait se traiter comme une matrice mathématique simple. [On trouvera quelques facteurs listés plus ou moins dans
http://www.geotunis.org/geotunis2008/communications/presentation/Nicolas%20Segerie/Nicolas%20Segerie.pdf]
Les tenants de l'opposition à cette théorie des AMP sont le plus souvent bien installés dans des institutions économico-politiques touchant aux secteurs météorologiques ou climatologiques. Mais on recense aussi beaucoup d'acteurs d'opposition dont le seul but est de développer leurs propres commerces ou structures telles des laboratoires dépendants de budgets progouvernementaux, sociétés de prévision, de modélisation ou de calcul, producteurs d'énergie, média anxiogènes, publications liées aux intérêts de leurs annonceurs...(comme ces quelques pages qu'il me faut refaire détruite par l'un d'eux!). Pourtant d'un point de vue scientifique, cette théorie s'est construite selon des modalités rigoureuses à partir d'observations faites dans un contexte initial particulier. Le professeur Leroux qui l'a développé vivait au Sénégal où il était alors instituteur passionné de climatologie. Il a fait des observations nombreuses qui ont fait l'objet en particulier de sa première thèse de doctorat (voir bibliographie sur le site du laboratoire dont il a été le directeur:
http://lcre.univ-lyon3.fr/climato/somm.htm). Depuis, il n'a cessé de la développer avec ses étudiants par la méthodologie hypothéticodéductive jusqu'à son décès le 12 août 2008 à Marseille.
Si nombreux sont ceux qui ont eu intérêt à dénigrer ce développement conceptuel, nous ne pouvons que conseiller aux lecteurs qui s'intéressent vraiment à la climatologie et à la météorologie, et à toutes les problématiques de risques qui en sont les conséquences, de lire ses ouvrages ou ceux des scientifiques qui ont travaillé en marge. Ce sera plus favorable à l'esprit humaniste que de s'évertuer pendant un siècle encore à détruire par la polémique et des propos en réponse du tac au tac à tel propos échangé par médiatisation interposée. Nous pouvons ici, dans cette encyclopédia avec autant d'articles qu'il le faut, proposer que les arguments favorables ou d'opposition soient présentés tour à tour et discutés, sans décapitations ou castrations intellectuelles.
Description [modifier] Description de l’AMP : L'AMP (Anticyclone Mobile Polaire) est un "météore" au sens de phénomène observable dans l'atmosphère. Cependant, ce phénomène est bien plus considérable dans son extension spatiale que les phénomènes que l'on répertorie habituellement sous ce vocable. Pour fixer les idées, les nuages, l'orage, un halo, un arc-en-ciel, une trombe, une aurore boréale, un faux-soleil, un cumulo-nimbus... sont des météores. La météorologie est la science qui s'est développée autour de l'étude de ces "météores", phénomènes de l’atmosphère. On pourrait croire aujourd'hui que tous ont été étudiés, il n'en est rien car la taille n'était pas observable avant l'avènement des satellites météorologiques avec Tiros en 1960. L'Anticyclone Mobile Polaire est donc un météore formé d’une masse d'air d'une taille gigantesque, de l’ordre d’une fraction d’hémisphère terrestre, puisqu'elle peut s'étendre sur plusieurs milliers de kilomètres, avec une forme qui a souvent été qualifiée de "lenticulaire", mais qui se rapproche plutôt de la forme que prend une masse de fluide (gaz ou liquide) lors d'une turbulence avec une figure caractéristique. Il est facile de s'en faire une idée avec l'imagerie des satellites. L’observation des manifestations météorologiques appelées " dépressions ", dans le sens de la théorie dite " norvégienne " du climat, nous est commune par la vulgarisation télévisuelle et médiatique de la prévision météorologique. Cependant l’interprétation n’en est pas identique.
Dans la théorie " norvégienne " reprise sous diverses formes par plusieurs " écoles " de météorologie considère que le phénomène qui déferle en produisant l’évolution si marquante du temps serait la " dépression ". Pour la théorie dite des " Anticyclone Mobiles Polaires ", ce n’est pas la dépression qui est motrice mais " l’anticyclone " au sens de lieu de forte pression (relative et non par rapport à une valeur standard). En effet, un air plutôt froid, car venant des régions polaires, se dirigeant vers les latitudes intertropicales, est plus dense, plus "massif"; ce qui lui confère une relative prédominance au contact avec des masses d’air plus "réchauffées", moins denses, plus instables, de surcroît chargée d’humidité, ce qui accroît leurs instabilités. L'étude détaillée des événements climatiques permet de reconnaître au travers des paramètres météorologiques (température, pression, humidité, vitesse et direction du vent) les preuves statistiques et synoptiques de la réalité de ces masses d'air et de leur importance pour expliquer l'évolution du temps, et à l'échelle climatique, les climats de chaque zone. L'étude selon les strates de l'atmosphère permet de reconnaître des contradictions dans les modèles des cellules de circulation globale ( cellule de Hadley ou Ferrel). Le modèle des AMP permet de mieux comprendre comment s'établissent les grands équilibres énergétiques à l'échelle globale, comme l'équateur météorologique. L'étude concrète des cas de phénomènes atmosphériques violents prend un sens renouvelé dans l'interprétation de la variabilité des aléas météorologiques. Le problème qui se pose est que ce modèle remet en cause fondamentalement ce qui n'apparait plus que comme le "postulat du réchauffement climatique" qui conduit à reconsidérer les fondements de la climatologie moderne. En utilisant la myriade de sites "météorologiques" qui utilisent la photographie spatiale, chacun peut donc facilement observer lui-même les AMPs. Pour illustrer, autant reprendre un cas du professeur Leroux lui-même de son vivant sur le site de son laboratoire dont il était le directeur: LCRE (laboratoire Climat Risques Environnement) "Le 1er août 1999 – Météosat – VIS – 12 h ,un AMP descend directement de l’Antarctique et s’organise dans l’Atlantique sud, où il va alimenter la circulation d’alizé, qui deviendra mousson au-delà de l’équateur géographique". (que l'on retrouve sur le lien
http://lcre.univ-lyon3.fr) [partie refaite après destruction totale - NS] Il est regrettable que certaines personnes qui n'acceptent pas la critique scientifique se permettent de massacrer l'iconographie tirée des ouvrages comme on peut le voir sur les pages qui précèdent. Si le débat scientifique avait un sens pour ces personnes, elles échangeraient honnêtement leurs arguments.
La controverse sur le concept d'AMP mettrait, selon son auteur, en évidence les lacunes des modèles explicatifs classiques reconduits sur plusieurs générations et utilisées par les plus grandes institutions météorologiques cautionnant uniquement leur approche par les méthodes dites de l'analyse numérique sans en renouveler ou même discuter les prémisses[1]. Il s'agit parfois même de cas de plagiat(cf site déjà cité). Nous sommes loin de l'absence de publications!
Ce concept d'AMP a été critiqué pour plusieurs raisons : Comme le fait que ce concept soit censé remplacer ceux autour du front polaire, plutôt que de le compléter. Pourtant la théorie des Anticyclones Mobiles Polaires permet de mieux comprendre ce que sont les fronts en météorologie; en particulier il donne un sens plus appuyé au "front froid" et remet le "front polaire" et les catégories de "masses d'air" dans une explication plus proche de la réalité que celles proposées, d'une qualité plus statistique, mais non explicative. La théorie des AMP rend mieux compte de la dynamique pluviogène d'un front et la cause de la "dépression" qui les précèdent. La finalité de la météorologie est souvent la prévision, la climatologie (au sens de la "climatologie concrète", mais pas au sens statistique de la discipline météorologique) cherche plutôt à expliquer. Il n'y a donc pas besoin pour les modélisateurs de concepts (et celui-là aussi)pour faire fonctionner la machinerie des modèles, les équations de l'atmosphère; les conditions aux limites sont bien suffisantes. Encore faut-il que les approximations qui y sont faites soient justifiées et que les valeurs interpolées pour les conditions aux limites soient faites avec pertinence. vaste sujet...J'apprends à l'instant que même les satellites se sont arrêtés pendant deux ans (!) à cause des rayons cosmiques si j'ai bien saisi, et que les données utilisées par le GIEC avaient été reconstituées... Alors que justement on a besoin de mesures pour vérifier l'évolution des données au delà de l'atmosphère avant de s'attarder sur les incertitudes dia et synchroniques de température dans les ilots de chaleur urbain. Par conséquent à l'avenir verra l'avènement d'une possible mise en pratique du concept dans une prévision météorologique même amateure (finis le bizznesssss !). Certains praticiens de la théorie pratiquent déjà pour eux-mêmes la prévision météorologique avec une fiabilité aussi efficace à en croire les taux de confiance de 2/5 ou 3/5 annoncés par les chaines qui diffusent de la "météo".
Un point majeur prête fortement flanc aux critiques : les modèles numériques de prévision actuels ne seraient basés sur les concepts de front polaire, de dépression et d'anticyclone[1] que pour être compréhensible au grand public. Justement, ces modèles sont en fait basés sur les équations fondamentales de la dynamique des fluides, les forces agissant dans l'atmosphère (voir équations primitives atmosphériques)[2]. Mais ils ne tiennent pas compte de tous les phénomènes en raison de problèmes de capacité informatique, du réseau des stations de mesures, mais aussi de "traditions conceptuelles". Comme les modèles descriptifs ne seraient utilisés que par les présentateurs météo qui les trouveraient utiles pour décrire le temps à un public non spécialisé, les modèles ne rendent pas compte des phénomènes comme les perturbations, les dépressions, les anticyclones, et d'autres mouvements majeurs de l'atmosphère. Il y a écart d'une part entre médiatisation des modèles et leur fonctionnement réel. Et d'autres parts, l'analyse par la conception des modèles à partir des équations fondamentales permet de relever des anomalies et des curiosités qui expliquent peut-être pourquoi certaines prévisions ne sont pas suffisamment alarmantes et autorisent des prises de risques qui seraient prévenues si le risque réel météorologique était mieux perçu. Exemple ces neiges sur Moscou qui viennent de surprendre tout le monde. C'est un sujet encore en cours d'étude.(
http://studiacrescent.com/abstracts/numero-special-aic/n.-segerie----la-surprise-des-ecarts-de-prevision-des-extremes-meteo-climatiques-pour-un-recul-phe)
Cohérence bibliographique:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Scepticisme_scientifique(déjà supprimé)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Anticyclone_mobile_polaire(déjà altéré de très nombreuses fois)
http://lcre.univ-lyon3.fr/climato/actualites.htmhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Marcel_Lerouxque certains cherchent à faire supprimer !!!
http://lcre.univ-lyon3.fr/climato/Marcel_Leroux_biblio.pdfhttp://www.geotunis.org/geotunis2008/communications/presentation/Nicolas%20Segerie/Nicolas%20Segerie.pdfhttp://studiacrescent.com/abstracts/numero-special-aic/n.-segerie----la-surprise-des-ecarts-de-prevision-des-extremes-meteo-climatiques-pour-un-recul-pheNOTA BENE: excusez les effets de copie-collés de textes que j'essaye en vain de faire justement apparaître pour contre dire ces détracteurs...tant que cette situation n'est pas stabilisée...faute à Copenhague et à ses vigiles!
— Le message qui précède,
non signé, a été déposé par Nicolas Sègerie (d).
Dans son livre Global Warming: Myth or Reality? The Erring ways of Climatology (Réchauffement planétaire : mythe ou réalité ? Les errements de la climatologie), Marcel Leroux explique que les arguments en faveur de la théorie du réchauffement climatique se fondent sur des modèles qui – avec leurs insuffisances dans la compréhension et l'explication des phénomènes météorologiques – ne peuvent pas justifier avec fiabilité cette prédiction : " Nous n'avons ainsi pas de besoin de recourir à des modèles compliqués pour nous dire que le CO2 entraîne, en théorie, une augmentation de la température… Toutefois, l'hypothèse n'a jamais été démontrée en ce qui a trait au climat et demeure dans le domaine du virtuel ". Marcel Leroux se pose également la question de savoir si le réchauffement ne pourrait pas être bénéfique pour certaines régions du monde.
Il est mort dans l'indifférence générale ... ce qui "tort le cou" à tous ceux qui prétendent que les "climato-sceptiques" ne sont qu'à la recherche de reconnaissance médiatique. ... mais ce qui n'empêche pas non plus de ne pas forcément être d'accord avec ses thèses !
Quant aux causes du changement climatique, il écrit dans une section intitulée Conclusion : l’effet de serre n’est pas la cause du changement climatique : " Les causes probables du changement climatique sont donc : des paramètres orbitaux bien établis à l’échelle paléoclimatique, avec des conséquences climatiques freinées par l’effet d’inertie des accumulations glaciaires ; l’activité solaire que d’aucuns pensent être responsable de la moitié de l’augmentation de 0,6 °C de température et par d’autres de toute cette augmentation, débat qui appelle certainement un supplément d’analyse ; l’activité volcanique et les aérosols associés (plus particulièrement les sulfates), dont les effets (à court terme) sont incontestables ; et loin après, l’effet de serre, et en particulier celui causé par la vapeur d’eau, dont l’influence est inconnue. Ces facteurs se conjuguent en permanence et il semble difficile d’établir l’importance relative de ces différents facteurs sur l’évolution du climat. De même, il est tendancieux de faire ressortir le facteur anthropique alors qu’il est, clairement, le moins crédible parmi tous les autres facteurs cités ci-dessus. ".
Ailleurs, Marcel Leroux résume ainsi son point de vue sur la théorie du réchauffement climatique : " Le réchauffement global est une hypothèse issue de modèles théoriques et fondée sur des relations simplistes, qui annonce une élévation de la température, proclamée mais non démontrée. Les contradictions sont nombreuses entre les prédictions et les faits climatiques directement observés, l’ignorance délibérée de ces distorsions flagrantes constituant une imposture scientifique. Certes, les années 1970 représentent un tournant climatique fondamental (que les modèles n’ont pas " prévu ") qui se traduit par une augmentation progressive de la violence et de l’irrégularité du temps, associée à une modification de mode de la circulation générale (mode rapide). Toutefois, le problème fondamental n’est pas de prévoir le climat de 2100, mais de déterminer les modalités et les causes du tournant climatique récent pour être en mesure de prévoir efficacement l’évolution du temps du futur proche. "
Tout ça sans vouloir se faire "mousser" dans les médias ni en tirer des avantages financiers et en prenant le risque, alors que ses travaux étaient unanimement reconnus par la communauté scientifique, de se faire "tailler grâve" ... ce qui fut le cas.
Il est mort dans l'indifférence générale, ce qui "tort un peu le cou" de ceux qui prétendent que les "climato-sceptiques" ne sont QUE à la recherche de reconnaissance médiatique.
A conserver sans discussion possible , la liberté d'expression scientifique doit etre maintenue quelque soit les pressions des Lobbyings. MisterBlack — Le message qui précède,
non signé, a été déposé par 82.249.203.103 (d).
Vu sur google books :
" L'express international - Page 25 – 1999
En 19[96], il publie un livre austère, La Dynamique du temps et du climat (Masson). Il faudra que ce manuel soit traduit aux Etats-Unis pour qu'on prenne son ...
Affichage d'extraits - À propos de ce livre - Ajouter à ma bibliothèque - Plus "
— Le message qui précède,
non signé, a été déposé par Nemoi (d).
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