Loin du "climat réchauffiste", comme l'ont précisé de nombreux scientifiques (classés climatosceptiques) qui étudient les évolutions du soleil, il est fort à craindre que le "réchauffement climatique" prévu tourne à l'aigre (comme le ministre renvoyé à tord).
Un membre fondateur du Laboratoire Pluridisciplinaire Giordano Bruno, Yves Pomel, nous relaye une information qui nous conforte dans la prudence qu'il faut avoir vis-à-vis des "certitudes" affichées sur l'accroissement de la température globale (avec de moins en moins de scrupules des élus et des médias quand à la fourchette allant "allègrement" aux 4 ou 5 degrés Celsius de plus qu'aujourd'hui à des dates flustuantes... mais par rapport à quoi? Et surtout par quels phénomènes? Qui seraient majoritairement d'origine anthropique! Encore faut-il identifier les facteurs du climat qui proviennent de facteurs naturels! On voit bien que cette question n'est pas du tout évidente. Avant les tergiversations de la conférence COP21 en France qui s'annonce à grands "frais", et avec une curieuse unanimité des habituels opposants, il y a de quoi douter... comme tout scientifique... et là comme citoyen!
Glaciaire : mini-âge à venir
La Terre pourrait être confrontée à une mini-période glaciaire à partir de 2030 en raison de changements dans les cycles d’activité du soleil, estiment des scientifiques dans une étude publiée par la Royal Astronomical Society, et relayée par plusieurs médias britanniques.
D’après ces scientifiques, l’activité solaire diminuera de 60% entre 2030 et 2040, entraînant une « mini-période glaciaire » similaire à celle qui avait touché la planète entre 1645 et 1715. Lors de cette période, appelée le petit âge glaciaire [NB: appelé aussi Minimum de Maunder], les hivers étaient particulièrement rigoureux et les étés très courts en Europe et en Amérique du Nord.
Le nouveau modèle scientifique est calculé d’après l’effet dynamo de deux couches de matière composant le soleil. « Nous avons trouvé que deux vagues magnétiques ont pour origine deux différentes couches de matière à l’intérieur du soleil. Elles ont toutes deux une fréquence d’environ 11 années, même si elles sont légèrement différentes et sont parfois décalées. Au cours du cycle, les vagues fluctuent entre les hémisphères nord et sud du soleil. En combinant les effets des vagues et en les comparant avec les données réelles du cycle actuel du soleil, nos prévisions montrent une exactitude de 97%», affirme le professeur Valentina Zharkova, qui a présenté ses conclusions lors d’un meeting d’astronomie à Llandudno, au Pays de Galles.