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2 octobre 2012 2 02 /10 /octobre /2012 15:52

Contribution d’un étudiant aux assises de l’enseignement supérieur et de la recherche.

Thème principal mais pas exclusif : Réussite de tous les étudiants. Septembre 2012.

 

 

Présentation justifiant le point de vue :

Etudiant entre 1985 et 2012 (entrecoupé, pas bac + 27 !), dans une dizaines d’universités (à Clermont-Ferrand, Toulouse, Lyon, St Etienne, Cluj-Napoca en Roumanie), publiques ou privées, dans plusieurs disciplines (sciences exactes, sciences sociales et économiques, géographie, formation des maîtres), ancien représentant en Conseil d’Unité d’Enseignement, puis de Formation (faculté), Conseil des Etudes et de la Vie Universitaire (CEVU), délégué comme vice-président étudiant, toujours non syndiqué.

 

Aujourd’hui animateur du LPGB (Laboratoire Pluridisciplinaire Giordano Bruno, pour l’indépendance des sciences ; http://labo-giordano-bruno.over-blog.org/)

 

Réussite de tous les étudiants : venant d’un milieu agricole en zone de moyenne montagne, loin des plaines du bassin parisien, je peux mesurer les difficultés auxquelles se confrontent certaines franges de citoyens quand il s’agit de la scolarité loin de son lieu d’habitation ou de sont milieu social.

Déjà pour la maternelle ou l’école communale, la question du transport scolaire en milieu rural était une limite insurmontable (autobus bondé, pas prioritaire pour l’école maternelle). Quand vint le collège et le lycée dans le chef lieu du département grâce à un tacot chronophage vraiment hors d’âge et générateur de sciatique, outre le transport, la question sociale se faisait cruciale.

Si déjà un aïeul avait été valeureux quant à ses résultats au Lycée mais n’eut pas le droit de passer son « bac », « retenu » dans le moulin paternel pour moudre un autre grain que celui des sciences et techniques, les temps n’avaient pas tellement changé quand je constatais que l’embourgeoisement citadin avait fait oublié le passé plus frustre de ces familles enrichies par des professions libérales ou fonctionnariales. Le choc social était déjà insupportable ; un copain s’était d’ailleurs suicidé ; on n’a jamais vraiment pu savoir pourquoi, mais je me doutais avec les humiliations. L’ambiance pour le choix des écoles, des concours, des filières y était exécrable tant ça puait le dédain de classe sociale, en particulier pour chaque marche des filières menant au bac. J’ai choisi l’université ! Si ! Cela sonnait bien l’universalisme, mais je me trompais plus que d’un peu. Personne pour me « briffer ».

Passé et réussi un concours, mais à Marseille, mes observations in situ pour un provincial rural à peine dégrossi, le choc de l’urbanité (car les universités sont rarement à la campagne dans notre pays malgré l’appellation de campus) avec ses délinquants me dissuada de poursuivre quand une autre opportunité se présentait d’y retourner avec le soulagement familial.

Du coup, je voulais tenter un concours plus haut, plus prestigieux et garantissant a priori un travail. Alors, il fallait passer par la « faculté des sciences » à 230 km tout de même ; mais qui rejetais mon inscription pourtant précoce et enthousiaste. Ce n’était pas si fréquent dans mon « secteur » de bouseux ! (là je ne mets pas d’apostrophes car ce travail les pieds dans la m---- au c- - des vaches, je le connaissais assez bien pour ne pas avoir envi d’en faire mon métier, vue les perspectives qui se dessinaient déjà dans la « Communauté européenne » de l’époque déjà bien enraillée). Blocage par « numerus clausus » (ce n’était pourtant pas « médecine ou science po » pour lesquelles j’avais déclaré forfait sans même combattre. Je me rabattais sur n’importe quelle université. J’avais même envisagé de faire du droit en Corse ! J’aurais pu choisir alors IUT génie chimique, option poseur de bombe… J’arrivais finalement dans l’université la plus proche, 170 km tout de même, à force de lacets et de gravillons, où j’étais encore refusé car l’inscription cette fois-ci était trop tardive !

Mais le quota fut aboli au dernier moment par une grâce (supposée mais sûrement prévisible) de l’action d’un groupe d’étudiant syndicalistes auprès desquels je me suis senti ensuite redevable et qui m’ont rapidement « embauché » dans leur rangs que l’isolement de ma famille et de mes camarades écrémés rendaient amicaux. J’y ai appris quelques procédés pour la manipulation des foules estudiantines lors des grèves contre le projet Devaquet (c’est sûr que certains étudiants l’avaient ce projet !) qui prévoyait ce qui existait déjà sur mon campus pour certains laboratoires que je remarquais du fait de leurs moyens affichés, tranchant avec les bâtiments qui abritaient les amphis, ce qui ne sera pas enraillé par cette agitation anté-révolutionnaire post soixante-huitarde: l’autonomie des universités. C’est comme cela que je me suis retrouvé rapidement dans divers conseils d’université où je n’ai pas tellement rattraper mon temps perdu pour les études, mais où j’ai beaucoup appris sur les institutions et la démocratie ; cela vaut bien quelques certificats en droit. Mais pas avec l’orientation disciplinaire souhaitée, en fonction de l’information tellement indisponible de ce point de départ là. C’est sûr qu’il fallait une certaine dose de curiosité et de responsabilité pour rester tard pendant de longue heures tenir sa présence en séance des conseils sur des sujets sur lesquels on ne comprenait pas tous les enjeux. C’est là que j’ai appris à prendre la parole pour défendre les intérêts de gens qui s’en foutaient royalement. Au moins j’entendais ce que je disais car le président de l’université était inaudible. Et cela me tenais éveillé devant cet auditoire improbable. La représentation étudiante dans ces conseils n’avait pas le sens civique qu’on aurait pu attendre.

J’avais une amie d’enfance, la première, qui, ayant passé son bac, en est restée là « d’après ce qu’on m’a dit » car le versement du premier tiers des bourses d’étude nationales n’interviendrait que courant deuxième semestre (année universitaire 1984/1985)! C’est vrai que le versement des bourses (et j’en avais bien besoin) était intervenu plusieurs années d’affilé, avec un décalage incompréhensible par rapport à leurs finalités. Aujourd’hui, ce décalage est plus réduit, mais les bourses sont attribuées sur d’autres critères, du coup diminue leur intérêt de soutien social relatif. Un scandale pour une République qui déclarait élever les citoyens méritants sans distinction sociale. L’information et l’orientation sont deux mamelles de la réussite (universitaire aussi). Aujourd’hui, l’information frise avec propagande pour rivaliser d’effets pour s’attirer (en anglais de plus en plus souvent, bientôt en chinois) des étudiants qui apporteront une plus value (surtout ne pas causer d’Occitanie à ce moment là du recrutement).

Passé quelques années sur ce campus, je souhaitais rejoindre celui qui m’avait refoulé jadis. Mais j’avais loupé le coche cognitif : les matières n’y étaient pas enseignées avec les mêmes sections, les mêmes orientations, identique au niveau de la formation des maîtres, les mêmes niveaux pour certaines sections (là en physique) et des nouvelles difficultés arrivaient : je découvrais que je n’étais pas de la culture de cette région, car je n’y reconnaissais pas les savoirs-être, qui ne me reconnaissaient pas non plus, mais eux étaient entre eux ! Je me retrouvais alors copain-copain avec des malgaches, des marocains, des algériens… à la cité-U. Sinistrose quand elle se vidait en fin de semaine ou en vacances. Un tel jour de vacance, un jeune enfant, que son père avait amené accompagner sa grande sœur qui prenait sa chambre de CROUS, s’étonnait lors du déménagement : « Papa, papa ! On est en Afrique ? ». Et je me reconnu proche de ces africains et de ces marocains. Si je découvrais l’inter-culturalité, non décidément, nous n’étions pas tous à la même enseigne.

Une cité-U en zone destructible par explosion d’AZF ou la société des poudres et explosifs just’à côté et en zone inondable par la Garonne ; une idée de l’universalité des risques, naturels et anthropiques à la fois.

Quand il fallait prendre les cours, parfois à des horaires impossible par priorité pour d’autres sections ; des cours illisibles à prendre, incompréhensible parfois, et que la solution proposée par l’enseignant était d’acheter son « bouquin » qui figurait déjà dans la bibliographie de ceux qui étaient informés et prompts à saisir déjà les derniers exemplaires à la BU et les faire circuler entre copains de la même bande jusqu’aux partiels. Sentiment d’injustice souvent réitéré devant ces exemples de concurrences déloyales.

J’ai même connu un étudiant qui travaillais pour l’administration de l’université, déjà certainement « pistonné », et qui proposait des UV (pas le solarium) moyennement finance ! Si ! Si ! Bon il parait qu’il s’est fait coincer.

Dans une des « facultés », quelle surprise quand dans le courant de l’année, la liste des « admis » pour le DEA de l’année suivante était affichée par les « responsables » de filières alors que les examens n’avaient pas encore eut lieu ! Que la triche était ouverte pendant les examens, devant les yeux complices pour leurs protégés de certains enseignants, quand on faisait parti d’un cercle restreint d’élus qui seraient fatalement promotionnés car membres d’un milieu qui n’était pas du tout le mien ; surtout pour ce qui concernait ce que je pensais être universel qu’était la morale et l’honnêteté. D’ailleurs, y avait-il encore un milieu pour moi, loin de tous mes soutiens potentiels ? Ne parlons pas du reste. Heureusement que ma dulcinée m’a rejoint et qu’on s’est fait des copains exotiques.

Bien que je côtoyais quelques professeurs mémorables (connue aujourd’hui pour la promotion et la vulgarisation scientifique lors de conférence ou par des ouvrages), j’assistais à des cours dont le dogmatisme et l’indigence me surprenais. Ainsi, l’un des enseignants, professeur de surcroit, fils à papa notoire, argumentait que « quand on avait eut son bac en « X » années, on avait « Y » de probabilité d’obtenir un diplôme de troisième cycle » ; jouait avec les listes de promus en inversant le principe de causalité ! Curieux pour un physicien ! Tel maître de conférences, illisible et démoniaque, s’évertuait à nous renvoyer à un « bouquin » de son mentor aux méthodes formelles très personnelles : ici c’était comme ça, et pas autrement ; une forme de népotisme disciplinaire.

Tels assistants qui refusaient d’encadrer notre binôme ou trinôme en travaux pratiques car une barrière idéologique que je ne soupçonnais pas alors, rendait incompatibles mes collègues, qu’une logique de solidarité avait réunis, avec moi mêlé à cette affaire, par rapport à ce personnel « encadrant » aux enjeux déplacés du contexte universitaire !

Un ami d’enfance, qui n’avait pas eut, quant à lui, les mêmes problèmes pour rentrer dans cette université, car d’un autre milieu mieux informé, et dont la famille avait essuyé ce genre de phénomènes à une autre échelle, se tirait quant même les cheveux car, doctorant, il était confronté à un cas de conscience. Son directeur de recherche, ou plus exactement le chef de file de son secteur scientifique s’opposait à ses résultats expérimentaux non conformes à un dogme qui m’apparaissait donc, car je le savais de confiance et ne l’avais jamais vu dans cet état ! Dogmatisme surprenant à ce niveau là de technologie et de théorie ! Je compris bien plus tard de quoi il s’agissait et que les problèmes des « écoles/chapelles » dans les disciplines mêmes scientifiques serait un des graves problèmes auquel il faudrait s’attaquer.

C’est dans cette ambiance scélérate que j’ai claqué pour la première fois la porte de l’université. Aujourd’hui, avec le recul, je porterais plutôt plainte.

 

En 2012, vingt ans après, l’université a-t-elle changé par rapport à ces descriptions ? J’ai l’impression que si hier, les problèmes étaient plutôt celui de dérives individuelles ou claniques, aujourd’hui, ce sont des dérives institutionnelles dont il s’agit.

 

J’ai donc pu faire quelques constats sur les difficultés des étudiants et particulièrement pour les doctorants :

-         Les étudiants étrangers dont la bourse est insuffisante ou n’existe pas, obligés de travailler avec le pseudo-statut de « stagiaire » dans des emplois sous-rémunérés et temps pris sur le temps d’étude. (exemple : aide soignante en maison de retraite ; vigile de nuit ou de week-end ou vacances ; distribution de publicités qui encombrent nos boîtes-aux-lettres…).

-         Les étudiants en reprise d’étude, droit aujourd’hui reconnu constitutionnel, mais pas vraiment dans les faits car les critères ne sont pas de nature à encourager la réintroduction de l’expérience professionnelles ou le murissement des idées. Les troisièmes cycles a tendance à se confiner à une classe d’âge restreinte et docile.

-         L’âge avancé du doctorant est identifié comme un handicap alors qu’il est une richesse.

-         Dans le même temps, cumul des aides financières pour quelques privilégiés : bourses gouvernementales, monitorat, poste d’ATER, aides diverses aux voyages et éditions, prix de thèse en rapports ; cumul d’aides dont la délivrance sont obscures.

-         Diplôme doctoral comme norme social d’un corps de fonctionnaires technico-administratifs ; loin des intuitions créatrices des chercheurs innovants ou découvreurs.

-         Sujet de thèse choisi par les laboratoires, souvent directement en relation avec un financement d’une entreprise, d’une agence ou d’une collectivité territoriale ; contraire à l’éthique formative d’un futur chercheur « autonome » et d’une recherche « souveraine ».

-         Effet « travail de commande » : Réduction de la thèse à une expression configurative d’un travail de commande, qui souvent n’aura pas de suite pour le docteur, mais seulement en terme de retombée économique pour une société ; aggravé par le fait de la confidentialité signée en début de thèse sera un facteur bloquant très contraignant intrinsèque pour la carrière du docteur en question. (exemple : le doctorant en chimie qui ne peut publier des résultats car sous contrat avec une société d’énergie qui agit dans un faisceau concurrentiel ; retombée enseignement technologique plutôt que chimie analytique industrielle).

-         Un travail de recherche universitaire doit être public et universel. Ces conditions révèlent un biais dans le fichage des thèses qui peuvent se retrouver dans plusieurs laboratoires, du moment qu’ils sont concurrents.

-         Les normes de la thèse ne devraient être garanties pour la publication que par le travail d’un secrétariat spécial car tous les étudiants n’ont pas à rentrer dans les arcanes de l’informatique et du traitement de texte ou de l’édition.

-         L’effet « peau d’âne » : un réel sujet de recherche à visée doctorale qui se révèle être ambitieux ne correspondra pas et ne sera pas encouragé en dépit d’un intérêt pour la recherche et de la motivation du futur, mais néanmoins déjà chercheur.

-         Un étudiant doctorant est déjà un chercheur ; il devrait être reconnu comme tel (lieu de travail, rémunération, contrat de thèse respecté, avec capacité de médiation réelle).

-         La barrière statutaire : Il n’y a pas de chercheur que de fonctionnaires. N’importe qui peut, s’il s’en donne la peine, avec des méthodes propres et des moyens spécifique, être un chercheur qui peut obtenir des résultats.

-         Les sujets de thèse non financés ne sont pas significatifs de sujets inintéressants, mais de sujets qui n’ont pas l’assentiment de groupe de pression qui agissent dans le cercle du laboratoire en question.

-         « L’effet lobby » : L’orientation du financement de la recherche vers des sujets porteurs pour les groupes de pression est un réel problème pour l’ensemble de la « communauté scientifique ». A toutes les échelles régionales, nationale, européennes, mondiale, les controverses scientifiques omniprésentes oblitèrent l’activité dans certaines directions pour appuyer dans d’autres, avec des moyens qui dépassent l’entendement. (exemple de recherches :

o       sur la couche d’ozone qui alimente la concurrence aux CFC, c'est-à-dire pour la production d’autres produits gaz hydrocarbures beaucoup plus dangereux pour l’individu qui les utilise par les risque explosif ou inflammable ;

o       le « réchauffement climatique » qui organise le malthusianisme mondial et la décroissance ciblée pour les PVD, le développement des systèmes méga informatiques et de modèles de prévision douteux ;

o       les OGM, présentés comme garantissant la sécurité alimentaire mais qui s’avère toxiques ;

o        les motorisations diesels alors que leurs gaz sont cancérogènes…).

-         La dépendance des agences de la recherche et des comités d’experts de groupe économiques qui fournissent données et résultats en dépit du principe de précaution au conflit d’intérêt.

o       (exemple : le CITEPA en matière de pollution atmosphérique).

-         « L’effet de coalescence » : La captation du financement de la recherche par des réseaux de laboratoires en synergie.

-         « L’éclatement des campus » : qui ne favorise pas la représentation étudiante ou professorale.

-         La disparité des centres de recherche est écrasée par lemonolithisme institutionnel des UMR CNRS.

-         La représentation étudiante : trop marquée par le syndicalisme non étudiant qui s’introduit dans les sphères universitaires en profitant de la capacité de la jeunesse à la dispersion et au manque de recul. Combien d’étudiants perdent pied dans les opérations politiciennes qui ne les respectent pas comme travailleurs-étudiants, nécessitant de temps bénévolat tout azimut. Le pluralisme des étudiants en formation initiale avec bourses et en salariat doit être garanti.

-         « La guerre des écoles/chapelles scientifiques » : les disciplines académiques qui font disparaître les initiatives pluridisciplinaires au profit de thèses bien encrées dans l’histoire épistémologique d’une discipline s’opposant à une vision plus haute du champ de recherche. (exemple : climatologie météorologique contre climatologie géographique).

-         « Effet classe fonctionnaire » : la classe sociale fonctionnaire incompatible avec certaines fonctions ou modalités de recherche (liberté de thème, de développement, intuition non prévisible budgétairement ou calendairement, créativité, horaires comme en chronobiologie, saisons comme en climatologie…).

 

 

Conclusions :

Loin des apparences aux réalités de l’université universaliste pour tous, il existe dans l’université que j’ai vécue des formes de corruption de la recherche, dans l’attribution des postes, des disciplines, des « sujets » de recherche, des critères, des réseaux, devant l’insistance des groupes de pression qui pervertissent l’orientation du contenu de la recherche par la dérivation de ses financements et la constitution de ses réseaux.

Cela ne facilite pas la réussite de tous les étudiants. Peut-être même que cela est défavorable à certains étudiants dont certains pourraient apporter une plu value réelle, ici ou plus loin dans les pays de provenance. On peut même y voir une forme de néocolonialisme pour les périphéries, qu’elles soient nationales dans le monde rural, ou internationales, vis-à-vis de pays avec lesquels nous aurions tout intérêt à développer le champ de la recherche.

 

                        Nicolas Sègerie,

                       

 

Laboratoire Pluridisciplinaire Giordano Bruno, Pour l’indépendance des sciences.

http://labo-giordano-bruno.over-blog.org/

labo-giordano-bruno@orange.fr

33, rue Sœur Janin, 69005 Lyon.

Envoyé le 25 septembre 2012 sur http://www.assises-esr.fr/vos-contributions

(Clarifié et ré-envoyé le 2 octobre 2012 au cas où cette contribution se perde dans les alcoves de l'institutions, ce quie st apparemment le cas ce jour)

 

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  • Cette structure de recherche et de documentation scientifique est de forme associative.
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